Les éclairs d’hiver les ont poursuivies
Le bruit s’enfuit en temps voulu
La pluie qui chante, fortissimo
Le vent qui hurlant, fortissimo
La peur qui grandi, fortissimo
L’orchestre des ténèbres s’augment
Les ailes d’acier secouent
Le ventre de la grande bête sans défense
Leur destin sans espérance
Le fouet d'éclairage craque
L'albatros d'acier détraque
Les dés roulent
Les moments dérouillent
No comments:
Post a Comment